Dans cet article et la vidéo qui lui est liée
On peut lire:
… Avec l’avènement des réseaux, le leadership est distribué. Parfois même, il est partagé, car la collaboration permet de prendre des risques que l’individu seul ne saurait prendre. Celui qui veut changer les choses ne ciblera pas les gens, mais l’environnement dans lequel ils évoluent, de sorte qu’ils puissent changer eux-mêmes.
Le leadership en éducation n’est plus seulement assumé par les éducateurs. Des visionnaires en nouvelles technologies ont transformé l’éducation sans préméditation……..
Sans pour autant dénigrer les théoriciens de l’éducation, lequel a plus affecté l’apprentissage cette dernière décennie que Google ?
Les jeunes sont conscients du pouvoir que leur confèrent les TIC et les réseaux. On voit bien qu’ils forcent les enseignants et les institutions au changement. Les jeunes ne sont pas seuls, évidemment. Plusieurs professionnels de l’éducation, dont des directions d’école, sont aux commandes et ne craignent pas d’innover. Le maillage des élèves, des enseignants, des gestionnaires, des chercheurs, des autres professionnels de l’éducation, voire de certains politiciens, parents et journalistes illustre bien la dissémination de l’autorité à laquelle nous faisions allusion plus tôt….
On entend (2min55): « Actuellement, en éducation, les vecteurs et les acteurs du changement sont à la base, ils ne sont pas nécessairement en haut, chez les décideurs et c’est la base qui réclame des changements provenant du sommet »